Brun de Vian Tiran fabrique la laine la plus fine d’Europe. Son secret : conjuguer patrimoine historique, savoir-faire français et innovation pointue pour créer des étoffes singulières.
La passion des matières nobles et la recherche permanente de la douceur, c’est le credo de la maison. Dans cette manufacture, dirigée depuis huit générations par la même famille, l’attention au détail est permanente. 15 étapes de fabrication, 35 ouvriers qualifiés et les meilleurs fournisseurs dans 20 pays n’ont qu’un seul but : donner vie à des étoffes colorés, plaids, châles, ou écharpes au toucher délicat et moelleux. S’il faut pour cela parcourir le monde ou passer des années à croiser des moutons spéciaux pour y parvenir, pas de souci ! Trente ans d’expérience au contact des bergers éleveurs les y ont préparés. C’est ainsi qu’ils ont ressuscité le Merinos d’Arles Antique ® (le ® devrait être en exposant et non en indice). Une race de moutons de Camargue voulue par Louis XVI, qui donne une laine aussi fine qu’un cachemire, apportant confort et bien-être à ceux qui la portent. Encouragés par cet indéniable succès, Brun de Vian Tiran réitère aujourd’hui l’expérience avec des éleveurs de Mongolie et y a même ajouté un partenariat avec une ONG pour favoriser le développement durable et lutter contre la désertification. Une inspiration écologique que l’on retrouve d’ailleurs, dans leur collection de printemps (disponible en livraison rapide dans toute la France). La première gamme de nouveautés, intitulée Tribu, est inspirée par les peintures africaines. Elle propose des plaids légers et chics, parfaits à porter à l’épaule, ou pour lire sur sa terrasse. Disponibles en noir et blanc, ils contiennent de petits motifs sculptés par le tissage. L’autre partie de la collection, inspirée par la mode de la Fouta, est plus exotique avec sa gamme de six coloris qui rappellent des épices. A vous le Safran ou le Paprika, dans un mélange de Merinos et de lin, tout à fait printanier. Parce qu’être enveloppé dans de belles matières, comme dans une seconde peau, c’est aussi cela, la clé du bien-être.