Chaque collection de la Cerise apporte la surprise de nouvelles couleurs. Cette saison printemps-été est particulièrement lumineuse et épicée. Place au Colombo, un moutarde qui pique ou au Paprika le nouveau rouge-orangé survitaminé ! Pour équilibrer les couleurs solaires, prenons le large et plongeons dans les profondeurs sous-marines et apaisantes du bleu Encre.
Pourquoi ne pas en profiter pour jouer avec toutes ces couleurs ?
Le sac jour devient tricolore et la nouvelle forme de pochettes assorties, se décline en bicolore.
Dans la famille accessoire, on accueille la dernière création : le sac bouteille, à porter fièrement en bandoulière ! Dites adieu au plastique et mettez-y votre thermos ou votre bouteille de vin pour un apéro entre amis. Un geste éco et chic pour un usage quotidien et responsable.
L’emblématique trousse cube nous présente sa grande sœur au format XL super pratique.
La collection PE 19, est tout en couleur mais aussi tout en motifs. Le nouveau dessin Masha, la fleur hybride home made reprend toutes ces couleurs pour mieux se mixer et saupoudrer la collection de sa fraicheur. Et n’oublions pas l’indémodable rayure Finette, elle sera caviar pour mieux s’associer au vichy Ernest. Un mix and match de motifs pour paresser sur des coussins de sol ou des édredons.
Dans la cuisine, Plouf ! Le plongeoir de l’enfance d’ Anne Hubert s’imprime sur les incontournables torchons. Ploc ! évadons-nous la tête dans les nuages !
LA PETITE HISTOIRE
Voilà la petite histoire et les souvenirs colorés qui inspirent encore aujourd’hui l’univers de La Cerise.
« J’ai grandi en Normandie, près de la mer, entourée de quatre frères, reconnus comme inventeurs de bêtises, de ma sœur, de mon chien à pois et de Willy le poney. Je passais l’hiver en bottes jaunes et l’été pieds nus.
Dans mes nombreux souvenirs, il y a des ballades sur le porte-bagage du vélo ma sœur repeint en vert-pomme avec la selle bombée argent, pour aller ramasser des mûres violettes pour faire les confitures. Et finir la ballade en cueillant des coquelicots rouges qui fanent trop vite, et réaliser que finalement, c’est plus agréable de les regarder le long des chemins.
Je me souviens aussi des dimanches, debout sur la table de la salle à manger, où ma mère ajustait avec des épingles les vêtements qu’elle me faisait, ma préférée restant celle en Liberty. Et moi je bricolais des robes à mes poupées avec les chutes de tissus.
Tout était fait maison : les confitures, la cuisine familiale, les robes d’été et les tricots d’hiver.
J’ai gardé la mémoire du toucher, les torchons traditionnels à bandes rouges qu’utilisait ma mère, le tablier en métis blanc qu’elle portait en faisant la cuisine. Et le soir me glisser sous les draps en lin dans lesquels je dormais, draps du trousseau de mariage brodés d’initiales, le tout couvert d’un édredon vieux rose décoloré par le temps…
Finalement, c’est ce qui fait l’identité de La Cerise aujourd’hui ! »
Anne Hubert