Grégoire Guillemin alias Léon est un artiste français, passionné par les bandes dessinées et les comics depuis son enfance. Grâce au soutien de ses parents, il a intégré une école d’art. Après une année consacrée à la musique, il a souhaité revenir à sa première passion pour le dessin. Il a intégré une agence de communication en tant que graphiste, avant de devenir directeur du planning stratégique.
Artiste français : les œuvres pop art ludiques de Greg Léon Guillemin
Éloigné de la création, Greg Léon Guillemin décide, en 2010, de peindre pour le plaisir. Il est considéré comme un des « nouveaux grands noms du pop art ». Ses œuvres fontla Une d’institutions reconnues, comme Beaux Arts Magazine, et ont la primeur des pages culturelles du Monde et ont été accueillies lors des 50 ans du Montreux Jazz Festival. Elles se distinguent particulièrement dans le paysage artistique actuel et du pop art en particulier.
Comics : la vie secrète des héros
Lancée en 2013 sur la toile, sa saga « Secret Life of Heroes » a reçu un retentissement international à travers des expositions de Paris à New York, en passant par l’Italie et la Suisse. Greg Léon Guillemin estime que les adultes se construisent avec leurs passions d’enfant. Il a donc naturellement puisé son inspiration dans les icônes de son enfance : les super-héros.
Super-héros : des toiles pop art universelles
Dans ses peintures à l’acrylique, visuellement saisissantes, il plonge ces univers imaginaires dans un quotidien ordinaire. Artiste de pop art le plus prometteur de notre époque, Greg « Léon » Guillemin s’adresse à tous . Il interpelle les publics initiés, comme les non-connaisseurs. Il veut, par ses compositions à l’acrylique aux couleurs acidulées de héros plongés dans la vie quotidienne, créer une nouvelle proximité avec l’icône du héros. En les faisant descendre de leur piédestal, il leur donne figure humaine.
Cancel culture : pour les (grands) enfants
Comme ses modèles, Roy Lichtenstein, Andy Warhol ou encore Keith Haring, il dénonce la société actuelle en restant toujours joyeux et malicieux. Son cheval de bataille actuel : les travers de la « cancel culture » . Elle consiste par exemple à censurer le personnage de « Pépé le putois ». Tout simplement car il est taxé de sexisme. C’est encore le cas dans sa toile « One a porn a time ». Il y fait une mise en lumière de la polémique autour des fameux baisers non consentis des princes «charmants » aux jolies princesses.
Il s’amuse également à réinterpréter des toiles de maître, comme le « Déjeuner sur l’herbe » en y introduisant des personnages imaginaires.