Artiste de renommée internationale, Lisa Cirenza voulait « maximiser l’empathie humaine ». Après le Covid, elle souhaite « planter les graines de guérison ».
Le numérique : un outil
Lisa Cirenza est une artiste post Covid. En effet, la pandémie mondiale a durablement dévié sa carrière. Cette maladie a mis provisoirement un terme à des années d’expositions aux quatre coins de la planète.
D’un autre côté, ce fut une excellente opportunité de faire une pause. Elle a pu réfléchir plus sereinement sur les tourments de notre monde. Elle est née aux États-Unis. C’est une global nomad. Elle a habité à Tokyo, au Québec, à Londres, à Paris. L’artiste vit depuis deux ans dans les Alpes françaises. Elle s’y sent, finalement, vraiment chez elle.
Lisa a été formée à la « Royal Drawing School of London ». Elle fut aussi l’élève d’un maître Sumi-e au Japon. Elle a fait un passage dans un atelier parisien. L’environnement la passionne également. Lisa a étudié les Sciences de la Terre à l’École des Mines de Paris et à Stanford University.
Artiste peintre américaine et global nomad


Avant d’être une artiste post Covid, Lisa Cirenza voyageait aux quatre coins du monde. Ses tableaux sont rafraîchissants et vivants. Car elle leur confère ses couleurs, ses marques calligraphiques et ses compositions magistrales. Pour capturer l’instantané dans le métro, un bar, ou même un aéroport, Lisa peint sur sa tablette. C’est beaucoup plus pratique que de sortir peintures et pinceaux !
En revanche, pour transmettre de grandes énergies, elle utilise ses huiles sur une toile monumentale. Souvent, elle utilise les deux méthodes dans le même travail. Des précurseurs de l’abstraction moderne tels que Severini, O’Keeffe, Schwitter, et Klee l’inspirent au quotidien. Elle partage ses réflexions bienveillantes dans les strates de ses toiles.
Rechercher des connexions humaines


L’artiste post Covid explique : « Ma dernière série recherche la guérison. Elle vise à remettre en question nos liens naturels (nouvellement appréciés après les confinements) à notre terre. Cette dernière est soumise au défi climatique. » Elle est la nouvelle sociétaire du Salon d’Automne de Paris. Lisa évoque les liens entre les Hommes, et les Hommes à la Terre, comme des lignes de vie. L’artiste est convaincue que ces connexions soignent. Elle cherche à planter les graines de l’espoir et de guérison. Et ce, chez tous ceux qui prennent le temps de réfléchir et de se refléter dans son art.
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