Paysagiste dans le Luberon, Les Jardins d’Art topiaire cultive avec maestria l’art du jardin provençal. Promenons-nous dans leur sillage entre lavande et cyprès…
Paysagiste dans le Luberon, une équipe de jardiniers chevronnés


C’est au cœur du triangle d’or qui relie Roussillon, Gordes et Bonieu qu’officie Pierre Martin, paysagiste dans le Luberon. Secondé par son épouse Micaela, architecte d’intérieur de formation ainsi que par une équipe de jardiniers chevronnés. Dans ce Luberon si prisé, émaillé de belles propriétés environnées de verdure, Les Jardins d’Art topiaire se sont taillés une solide réputation. Travail soigné, créativité et sens du service sont en effet les maitres mots de l’entreprise fondée en 2012 à Roussillon. Attenant à ses locaux, un showroom de mobilier et déco de jardin verra le jour fin 2023, piloté par Micaela. De fait, on y trouvera une sélection pointue de meubles, poteries, accessoires outdoor, etc.
De l’entretien des espaces verts à l’art topiaire


La structure, dont les 11 salariés sont à pied d’œuvre toute l’année, accompagne ses clients de A à Z. Elle assure ainsi aussi bien la conception que la réalisation ou l’entretien des espaces verts. Il n’est pas rare de voir Pierre Martin perché sur sa nacelle refaire une beauté aux cyprès. Même les plus hauts ! C’est d’ailleurs la spécialité de notre paysagiste du Luberon, la taille architecturée des végétaux, cet art topiaire qui sublime arbres et arbustes. Cônes, boules, nuages, etc… autant de formes sculpturales au cœur du jardin qui attirent le regard et provoquent l’émerveillement…
Les restanques ou l’art du jardin provençal


Les Jardins d’Art topiaire réalisent des parcs de style provençal, raccords avec les contraintes climatiques et topographiques du terroir local. L’entreprise privilégie ainsi les allées de promenade et les massifs plutôt que les pelouses, très gourmandes en eau. De plus, le recours aux copeaux de bois dans les massifs permet aussi de retenir l’humidité. Et de limiter la croissance des mauvaises herbes. L’arrosage et l’entretien s’en trouvent ainsi réduit.
Par ailleurs, il s’agit de reconfigurer les terrains du Luberon, souvent pentus, afin d’éviter le ravinement de l’eau de pluie. On construit alors des restanques aussi appelés « bancaou » en provençal. Ces murets de pierres qui permettent de retenir la terre. Le résultat ? Des jardins façonnés en terrasses qui s’étagent harmonieusement dans la grande tradition du patrimoine botanique provençal. S’y épanouissent les essences qui font toute la renommée de la végétation locale. Notamment des cyprès, oliviers, buis, lavande, etc. Des tonalités vertes et gris bleuté qui s’harmonisent joliment avec les fleurs des lauriers roses, lilas des Indes, jasmins ou encore rosiers… Bref, un enchantement !