Le musée des impressionnismes Giverny met en avant les jardins dans l’expo Côté jardin. De Monet à Bonnard.
L’expo Côté Jardin : un angle inédit
L’expo Côté Jardin, au musée des impressionnismes Giverny jusqu’au 1er novembre 2021, rassemble une centaine de peintures, dessins, estampes et photographies, illustrant la représentation du jardin par les artistes impressionnistes et nabis, sous un angle inédit : la sensibilité face au jardin.
Car si de nombreuses expositions ont déjà traité le sujet général du jardin et aussi le thème du jardin chez les impressionnistes, cela sera la première fois qu’un projet confrontera les visions contradictoires et complémentaires qui unissent les impressionnistes et les Nabis.
Une évocation de la construction du jardin
Il s’agira, dans l’exposition Côté Jardin, plus d’une évocation, d’un ressenti que d’une argumentation sur la construction du jardin ou des débats horticoles à la fin du XIXe siècle avec une conclusion sur le XXe siècle.
D’Auguste Renoir à Claude Monet, d’Édouard Vuillard à Pierre Bonnard, c’est une histoire des sensibilités qui est donnée à voir. Bien plus qu’une illustration du jardin de Monet.
Après 1900, Pierre Bonnard ainsi que la plus part des nabis se tournent vers le postimpressionnisme. Leur rôle essentiel est de souligné l’illustration nouvelle du jardin. Aménageant une transition sur l’esthétique des Nabis, où le jeu des ombres et du théâtre s’affirme comme une démarcation avec les impressionnistes qu’ils admirent, récusent, mais auxquels ils reviennent sans cesse.
Après 1900, Pierre Bonnard ainsi que la plus part des nabis se tournent vers le postimpressionnisme. Leur rôle essentiel est de souligné l’illustration nouvelle du jardin.
Le parcours de l’expo Côté Jardin sera thématique et chronologique. Proposant des sections sur l’espace, l’absence, les rêveries, les jardins publics, le jardin luxuriant et le retour à l’impressionnisme. L’exposition réunira des épreuves d’époque montrant le jardin de Claude Monet à Giverny. Des clichés inédits conservés dans les archives Vuillard.
rêveries, les jardins publics, le jardin luxuriant et le retour à l’impressionnisme.