Né de la rencontre de deux artistes hors du commun, COHA est un projet artistique à quatre mains qui travaille l’art des contrastes autour d’un détail omniprésent : le cercle ! Des toiles minimalistes qui invitent à la contemplation…
Quand le Danemark rencontre le Pérou
Fruit d’un coup de foudre à la ville comme à la scène, COHA mêle les univers de deux artistes : Klaus Rune Hansen et Angie Cornejo Llosa. Viking créatif originaire du Danemark, Klaus offre au monde des toiles abstraites. Son univers coloré puise son inspiration dans les photos des mystérieux trous noirs. Comme une plongée au cœur du sens profond de l’existence ! De son côté, Angie explore l’art de la figuration. On craque pour ses personnages Incas hauts en couleurs qui visitent Paris. Hommages à sa culture péruvienne, ses toiles à la luminosité éclatante posent un regard neuf sur la place de l’homme dans notre société actuelle.
Toiles minimalistes, la peinture comme terre de contrastes
Tait d’union entre Danemark et Pérou, COHA rassemble ces deux artistes autour d’un projet symbolique. Flirtant avec l’univers de la photographie, leurs œuvres communes se dépouillent des couleurs de l’arc-en-ciel pour se concentrer sur la dualité entre blanc et noir. Un parti-pris loin de leur zone de confort pour privilégier la quête de sens ! Car derrière le contraste chromatique entre les applâts texturés d’un noir profond desquels émergent des cercles d’un blanc pur, c’est toute l’ambivalence entre obscurité et lumière, vide et densité, simplicité et puissance, qu’il faut lire. Un tourbillon d’émotions qui aimante le spectateur !
Plongée au cœur de ses toiles minimalistes
Et c’est peut-être là que tient toute la maestria de COHA : dans le fait de faire naître des réflexions intenses autour de ses toiles minimalistes. Symbole de l’unité, du cycle de la vie ou du mouvement perpétuel, le cercle est une figure géométrique double face. Côté pile, le cercle est exactement ce qu’il se donne à voir, une ligne homogène parfaitement refermée sur elle-même. Côté face, le cercle est aussi tout ce qu’il ne dit pas. Notamment le vide et l’abîme qu’il cache en lui comme un chemin invisible qu’il faut oser emprunter. Un voyage initiatique qui mène de l’ombre à la lumière, deux aspects moins antithétiques qu’il n’y paraît…
À la rencontre de COHA
À la manière des nuages qui évoluent librement dans le ciel, les toiles minimalistes de Klaus et Angie se réinterprètent à l’infini. Exclusivement représentées par Presta Art, elles se donneront à voir dans leurs galeries d’Uzès, de Nîmes et de Biarritz. Mais aussi dans les couloirs du mythique Hôtel Imperator de Nîmes ou dans les allées du salon Lille Art Up. Et vous, que découvrirez-vous derrière les cercles concentriques de COHA ?
Les commentaires sont désactivés.