Soutenir un projet d’Emmaüs Solidarité, c’est très certainement défendre l’association solidaire la plus historique de notre société. L’organisation, fondée en 1954 continue de combattre la misère autant que l’exclusion sociale. Un lourd constat de précarité qui ne faiblit pas Ils s’appellent Charles, Sophie, Bintou, Rafik, Djavelina ou bien Amir. Ils sont Français, Africains, Ukrainiens, Afghans et ont tous des parcours de vie différents. Certains sont seuls, d’autres à deux ou bien en famille. Ces personnes isolées peuvent être jeunes mais également plus âgées, souvent blessées par la vie. Tous ont cependant un point commun : ils dorment majoritairement dans la rue, dans une grande précarité. Une situation qui, depuis la création de l’association solidaire il y a 70 ans, n’a de cesse d’augmenter. Une voix d’espoir : de la rue à la vie Les réponses de l’État pour atteindre 200 000 places d’hébergement se révèlent trop insuffisantes. En effet, on…